23 mai 2007
Aucun des pays postcommunistes ne propose aujourd'hui de consensus sur la clôture définitive du passé communiste. Bien au contraire, on a l'impression qu'avec le temps son importance dans la vie politique s'accentue au prétexte que ses conséquences morales et sociopolitiques n'ont pas été enrayées. Jusqu'où faut-il aller ? La mémoire des morts doit-elle gouverner les vivants ? lire la suite